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Fille d’un pasteur de l’Église Unie du Canada, Kristine Greenaway a conservé au fil du temps des liens avec cette Église – y compris, jusqu’en 2018, à titre de responsable des Ministères en français. Elle a travaillé dans les domaines de l’édition et des communications, notamment auprès du Conseil œcuménique des Églises, à Genève. Depuis plusieurs années, elle écrit pour le théâtre.
Aujourd’hui Credo vous propose un entretien en trois parties où elle explique avec une grande sensibilité la manière dont sa vie spirituelle et ses activités théâtrales bénéficient de l’une et l’autre expérience.
Dans la première partie, intitulée Une fine poussière dans la lumière dorée, elle relie à un souvenir d’enfance le goût qu’elle développera plus tard de partager des histoires avec un public et d’en faire un moment spécial.
Dans la deuxième partie, Faire du tort, elle nous parle de l’expérience marquante de sa famille dans un village de la nation Tsimshian et des prises de conscience salutaires à l’égard des cultures autochtones.
Dans la troisième partie, S’ouvrir, se rapprocher, créer autrement, elle relate comment elle en est venue à écrire sur Madame de Staël, sur la crise identitaire d’un jeune Arménien et sur la première pompière à Toronto. Pourquoi et comment mettre en scène les histoires des autres?
Visionner la première partie de l’entretien
Visionner la deuxième partie de l’entretien
Visionner la troisième partie de l’entretien
Touchant et très important pour le dialogue interculturel et interreligieux. Jàimerais beacoup regarder une des pièces de Kristine – mais je vis à Berlin en Allemagne et n’aurai donc probablement pas cette chance. Mais merci beaucoup pour ton témoignage, chère Kristine!
Elisabeth
très intéressant.