À la suite du 45e Conseil général, l’Église a renouvelé son engagement en faveur de la justice, de la paix et de l’épanouissement de tous les peuples.
Participants au 45e Conseil général au TELUS Convention Centre, Calgary, Alberta.
Crédit: Alan Lai.
À l’occasion du 45e Conseil général, qui s’est tenu du 7 au 11 août, les membres de l’Église Unie de tout le pays se sont réunis dans la foi pour réfléchir à la voie que doit suivre l’Église, en compagnie de partenaires mondiaux, œcuméniques et interreligieux. À la suite de l’assemblée triennale, l’Église Unie du Canada a renouvelé son engagement en faveur de la justice, de la paix, de l’intégrité de la création, ainsi que de l’épanouissement et du bien-être de tous les peuples et du monde.
« Rêver d’un monde meilleur : pour l’amour du monde bien-aimé de Dieu » est le résultat de plusieurs décisions prises lors du 45e Conseil général à Calgary, en Alberta.
L’Église appelle à agir de toute urgence pour la paix et la justice à l’échelle internationale, notamment à l’égard des situations suivantes :
- le génocide et la catastrophe humanitaire en cours à Gaza;
- la violence et les violations des droits de la personne dans de nombreuses régions d’Amérique latine;
- les tensions persistantes dans la péninsule coréenne.
La déclaration invite l’ensemble de la société canadienne et l’Église Unie à :
- défendre les peuples autochtones les plus touchés par la crise climatique et ceux qui n’ont pas accès à l’eau potable;
- réitérer les excuses de l’Église aux communautés bispirituelles et LGBTQIA+ pour les préjudices passés et actuels qu’elle a causés;
- appeler le gouvernement à révoquer les lois préjudiciables à ces communautés.
La déclaration contient également des appels urgents à l’action à l’intention des gouvernements et de la société dans son ensemble concernant plusieurs autres questions, notamment :
- la crise du logement et la crise de santé mentale auxquelles sont confrontés les jeunes et les jeunes adultes;
- la crise des surdoses et le manque de ressources consacrées à la réduction des méfaits;
- la polarisation croissante;
- l’érosion des processus démocratiques.
Pour lire la déclaration complète.