Adapter la tenue d’assemblées paroissiales au contexte actuel si les dossiers ne peuvent pas être reportés
Photo C. Kutchukian/L’Église Unie
En cette période où les célébrations liturgiques ont été provisoirement interrompues ou sont passées au format électronique, la vie et les travaux de la paroisse se poursuivent de bien d’autres façons qui peuvent être adaptées au contexte actuel.
Les paroisses tiennent des assemblées pour obtenir de l’information et prendre des décisions. En raison des restrictions provinciales qui limitent actuellement les rassemblements, la meilleure solution consiste peut-être à reporter les assemblées déjà prévues et celles qui n’ont pas encore été convoquées, comme l’assemblée générale annuelle.
L’autre choix qui s’offre est de tenir l’assemblée en ayant recours à des moyens électroniques. En ce moment, il existe quelques options pour la vidéoconférence (par exemple, Zoom, Skype), en plus des conférences téléphoniques que se font en audio seulement. Toutes les méthodes électroniques sont acceptables à condition que les participants et les participantes soient en mesure de communiquer entre eux de vive voix ou en envoyant parallèlement des messages textes. Pourvu que la plupart des membres disposent de la technologie nécessaire et puissent l’utiliser, il est légitime d’y avoir recours pour tenir une assemblée. Nous reconnaissons que ce n’est pas une option envisageable pour les paroisses ayant une capacité électronique limitée. Encore une fois, il se peut que la meilleure option consiste à reporter l’assemblée.
La paroisse doit être informée au préalable d’une assemblée paroissiale, cet avis étant lu à haute voix lors d’une célébration liturgique publique. Les directives suivantes expliquent comment cette exigence en matière de préavis peut être adaptée pour les paroisses qui n’offrent pas de célébrations liturgiques en raison de la pandémie de COVID-19 au cas où il y aurait des dossiers paroissiaux qui ne peuvent être reportés.